LONGTEMPS de Érik Orsenna (3ème billet)
Il découvrait [...] la petite vie grouillante des mots, leur indocilité foncière, leur nomadisme invétéré, leur gourmandise, surtout leur indiscrétion, la manie qu'il avaient de se faufiler partout, d'aller fouiner dans les arrière-cours.
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