Me voici revenue à la maison, me voici à nouveau blottie sur mon oreiller. Il faut que je vous dise comment je lis...
Sous la couette, calée sur le côté gauche, l'œil droit enfoui dans le creux de l'oreiller, l'œil gauche en alerte, les jambes repliées... en position fœtale, ou presque.
Et je retrouve "mon" Orsenna, c'est - quasi sûr - du plaisir assuré !
Orsenna, c'est :
- La grammaire est une chanson douce
- Les chevaliers du subjonctif
- Dernières nouvelles des oiseaux
- La révolte des accents
- Voyage au pays du coton
C'est ce que j'ai lu, tout du moins !
Il faudra que je vous raconte mes aventures, tout à fait platoniques évidemment, avec Érik. Elles sont des pages de vie !
Cette fois, Monsieur Orsenna a l'intention de me faire rencontrer GABRIEL. Mais pas n'importe lequel ! Pas le roi du caoutchouc ! Pas le premier directeur de Radio-La Havane ! pas le valet du prince de Ligne !
Un GABRIEL de "taille médiocre, aux yeux gris qu'on peut, certains jours de soleil et d'indulgence, qualifier de bleus, [empêchés par] une certaine fragilité des bronches dès que revient l'automne". Un Gabriel des plus communs, quoi ! Un Gabriel comme vous en connaissez par centaines ! Quoique... moi, je ne connais pas de GABRIEL, ainsi !
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